Internet Mobile : modèles économiques, protection des droits
le mardi 07 mai4° Réunion FING - 3/05/2002 - CNC - Nomadisme et
Mobilité
L'ordre du
jour officiel de la FING
Les ingénieurs et chercheurs ont
déjà préfiguré techniquement nos
devenirs de consommateurs de contenus digitaux. A
nous les néo-commerçants de rentrer dans la
danse. L'ambition éffrénée de nombreux
acteurs à vouloir reproduire le modèle
économique du 3615 aiguise les
appétits. Hélas la gamelle pour l'instant est
réduite à la portion congrue. Et les transporteurs
de bits n'ont pas encore prouvé leurs capacités
à se muer en éditeurs rentables ? Et si ces deux
mondes s'entendaient clament les protagonistes. Soyons optimistes
et tentons de réfléchir et d'agir pour offrir des
perspectives plus réjouissantes que des sonneries
à 3 € ou autres films cinéma au format
timbre-poste. Le client numérique n'est pas un gogo et ne
se laissera pas duper longtemps. N'oublions pas qu'un film avec
son lecteur DVD loué sur un Paris-Marseille coûte
moins de 10 € la séance...
(note : Les liens sont placés pour entrer en ligne
directement avec les sources officielles et les
spécialistes -
Henri Tcheng, Andersen, à propos de
l'étude "Contenus numériques pour services mobiles"
pour la Commission européenne
Pas vu mais un rapport pris en fin de séance... Les
estimations du marché européen 2006 des
applications mobiles utilisant un contenu numérique se
situent dans une fourchette plutôt large : entre 7.8
Milliards d'euros et 27.4 Milliards d'euros. (moyenne de
18.9 milliards d'euros). - Slides
En tête, jeux et actualités.
Pas de bouleversements non plus... La répartition
prévue serait de :
-
60% du CA sur la voix
-
35% sur le transport de données
-
5% sur le contenu (SEULEMENT !) Un marché en devenir ?
Mais l'imode japonais prouve que la consommation Voix est
stimulée par la consommation Data... Une remarque
pertinente sur le cercle vicieux de la répartition du
revenu... A l'heure où tout le monde se bat pour
"posséder" le client, l'étude nous ramène au
bon sens du partage. Aux opérateurs d'être moins
gourmands pour inciter de nouveaux fournisseurs de contenus
à se créer.
L'étude est très complète, citons
néanmoins les recommandations (passionnantes ?)
nécessaires certes pour dessiner un cadre ?
-
Les pouvoirs publics (C.E. et Etats Membres) doivent aider au développement de ce marché,
-
Il appartient aux acteurs du marché (opérateurs, fournisseurs de contenu, fabricants de terminaux, ..) de mettre en place les forces nécessaires pour créer le marché à venir du contenu des mobiles.
Philippe COSTE - Idate - Perspectives des Services de
Divertissement sur Mobiles - (pris en route) - Slides
Pris en route. A court terme un développement
des applications surtout en B2B. Développement très
lent sur le grand public.
adoption progressive en 2003. Focus sur services professionnels.
Un marché dominé par la voix. Pour les data, le
développement n'est pas un marché de masse.
- Musique : technologies encore immatures faute de
savoir-compresser - coûts trop élevés (GPRS 3
minutes en MP3 5 euros)
Plutôt pour des services informations à Valeur
Ajoutée.
- Vidéo : contextualisées. Complémentaire
avec d'autres plateformes. "Internet as a complement"
Promouvoir contenus qui sont ailleurs. SMS oui pour la
fidélité à l'audience. Forte tendance
à la conso nomade en "offline". Voir à ce sujet
l'ipod. Quid de la protection des droits ? L'idate prévoit
un scénario de ces services nomades comme un marché
de niche. (5% de mémoire)
Didier Geiben, GM Consultants Associés : présentation de l'étude réalisée
pour l'ACSEL : "Réussir le développement des
services en ligne par la téléphonie mobile "
Ce qui pourrait accélérer le processus
(recommandation faite GESTE/ACSEL (télécharger le ppt)
-
un partage "plus favorable" entre l'opérateur et l'éditeur. "La marque de contenu Météo France est plus légitime que Orange pour distribuer de la météo"
-
Très difficile pour l'opérateur d'être pertinent sur le bouquet de contenus
--> en bref les facteurs clés de succès pour réussir seront un partage des tâches clair (fondé sur les succès de la télématique Minitel...)
-
l'opérateur (distributeur) assure la tuyauterie et le recouvrement
-
l'éditeur outre la production de contenu assure le marketing et la communication.
Sinon de gros efforts sont à poursuivre sur l'ergonomie des terminaux mobiles. Le succès du Minitel reposait sur sa simplicité d'usage... qu'on ne retrouve plus. Même nos mobiles actuels recèlent de trop de fonctions méconnues et incompréhensibles ?
Un groupe de travail sur les services est créé. L'association SMS+ -> préparer les opérateurs et les éditeurs de manière concertée à l'arrivée du GPRS.
N'oublions pas que le client n'a pas un budget
illimité. Quel modèle économique adapter
?
Recommandation : "un partage des revenus plus
adapté..." entre les deux ! Reversement significatif
du type 50%/50% ?
Ethique : fixer des règles du jeu, éviter les
dérives déontologiques.
Facteurs-clés de succès : Simple compréhensible, Accès/contenu agrégé, Anonymat, Ouverture à tous les Editeurs.
Solène Jaboulet, Thomson Multimédia : la protection des contenus numériques sur les réseaux privés personnels - SLIDES
Un exposé clair et inintéressant à mon
goût sur un système de protection des contenus
digitaux en environnement mobile.
Parce que "Broadcaster" c'est aussi "savoir protéger un
contenu". SmartRight offre une solution de crytpage de contenu.
Par un système de carte à puces avec naturellement
des lecteurs à placer... Facile d'accès ?
Quel avenir pour ce type de petit consortium ? Pour
ceux que ça intéresse voir SmartRight...
Pas pris de notes ! Pas trouvé de site sur google. Juste
un lien http://www.informationweek.com/story/IWK20010607S0013.
Un "bet" c'est un pari non ?
Michel Riguidel, ENST : sécurité en
contexte mobile - SLIDES
- http://www.enst.fr
"Chef du département Informatique et Réseaux de
Télécom Paris. Il dirigeait
précédemment les laboratoires d'Informatique
mobile, d'Internet du futur et Multimédia de Thales
Communications. Son domaine de recherche priviligié est la
sécurité des réseaux et des systèmes
: infrastructure de confiance, tatouage et protection de contenus
(logiciel), architecture et politique de sécurité.
Ses domaines de compétences sont la
sécurité, les architectures logicielles et les
nouvelles architectures de réseaux futurs (Internet
nouvelle génération, réseauxactifs,
configurables).Il a déposé plusieurs brevets sur la
sécurité." (source ENST)
Un homme assez extraordinaire qui poétise la "Sécurité". Pas sûr d'avoir tout pigé. Discours passionnant le chiffrage biologique d'ici un demi-siècle. Un "look" et un discours de chercheur. La sécurité c'est "tisser une confiance avec ses voisins". Là je ne saurais que vous inciter à retrouver des liens solides. L'homme a déposé des brevets pointus de sécurité fondés sur les Alibis. En gros la métaphore utilisée ce serait vous livrer une voiture avec 1000 clés ! (brevet Tagès ?) Bel exposé sur les rapports Emetteurs (Ethique) --Message--> /Récepteur (Pathos). Cet homme est "habité". "Un contenu sans huis clos est en clair". Bonnes et grosses réflexions sur la traçabilité des contenus. Construire une "Toile de confiance". Je m'avoue incapable de vous restituer le contenu sans notes.
Jean-Claude Barbezange, Atos Origin : signature
électronique et moyens d'authentification,
systèmes de paiements sur mobiles - Slides
-
Terminaux visés : tous les équipements nomades interactifs en mobilité : GSM, WAP, PDA comm., certificateurs (calculettes)
-
Recherches sur la fonction paiement : Standard, micro-paiement, pré-autorisation sur montant cible.
-
Solutions : Certificat, PME, Carte Bancaire, Kiosque, Prépayé, Abonnement positionnées sur une matrice (Niche/Universel)/(Services/Biens Matériels
-
Contraintes : solution stable, exploitable, accessible 24/24 7/7, assistance neutre (ergonomie utilisation)
-
A court terme, c'est clair : selon lui, pas de marché faute de parc. Atos réfléchit à l'ergonomie et aux aspects légaux et réglementaires.
-
Présentation d'une solution sur un gros certificateur accouplé à un PDA (iPAQ ?). Equipement du PDA d'un lecteur de carte à puce. Connexion au micro par onde radio.
ORANGE ET LES DROITS
Laurent Coureau, Orange Innovation : la gestion des droits
numériques (DRM) - Slides
Bon là on passe sur les chiffres du SNEP (estimation de
6.5% de pertes sur les ventes de CD).
Solution présentée : DRM - contrôle du
contenu et des droits. En gros du "personne à personne"
possible mais repasser par le serveur pour demander la
clé.
Constats :
-
Pas de standards (échec SDMI ? Secure Digital Music Initiative ?)
-
Le monde PC ne décolle pas
Les acteurs mobiles n'ont pas de solutions dans le monde GSM. Normalisation en cours du côté des consortiums : 3GPP (semaine prochaine), WapForum (DRM Light), MPEG21.
Le monde du mobile semble plus attrayant :
-
Sécurité
-
Modèle économique sur le paiement des services
-
Standardisation en cours de route
La sécurité sera l'objectif majeur... Voir les spécialistes sur le sujet...
Xavier Bringué, Microsoft, New Media Platforms Division : les solutions de protection de contenus en environement fixe et mobile - www.microsoft.com/windowsmedia/fr
Un powerpoint tout en couleurs à la hauteur de
l'ambition de MS... Plein de jargonnage ou "buzzphrasing" comme
d'habitude.
Scénario Affaires : Offre Windows Media comprenant
-
compression, création, diffusion
-
Sécurisation contenu
-
Restitution contenu
Le binôme PC - PDA règne en maître via un terminal qui synchronise.
-
Aujourd'hui : 125 terminaux non PC s'appellent des "Windows Media Device" et portent le label WMD-DRM (en gros le label privé de protection de droits estampillé MS ?)
-
Demain :
-
prévision de pouvoir se reculer à 3 mètres de l'écran via "FreeStyle".
-
Mobilité
-
TV
-
XBox
-
> PAUSE CAFE
HAIKU Chaîne de Valeur du Multimédia
Mobile (lien à maintenir ?)
Axel Dreyfus, Haïku Corp. : Les
éléments-clés de la chaine de valeur du
multimédia mobile
Quelque retard mais si j'ai bien capté, une solution de
sous-traitance de l'agrégation de contenus :
-
marketing éditorial savoir-faire
-
finances
-
coûts infrastructures
-
technologies et neutralité
Un expoxé brillant sur le principe des échanges.
En deux mots, l'agrégateur est le centre serveur des
années 80.
Un circuit complexe de l'utilisateur du Multimédia Mobile
(MM) -> Plateforme opérateur-> Base
Utilisateurs-> passage par une Porte (gateway privée)
franchissement d'une ligne virtuelle--> Base utilisateur->
Facturation-> Contenu (tout ça en un clin d'oeil
naturellement). Un dessin ferait mieux l'affaire.
Haiku se met donc au milieu entre Opérateurs et
Editeurs.
Métiers :
-
Adaptation des flux de contenus
-
Développement applicatif
-
Hébergement
Parti-pris
-
La structure du modèle japonais s'imposera
-
L'agrégateur tient une place déterminante car gère les éléments principaux de la chaîne de valeur
-
Mise en place d'une relation tripartite tenant compte des contraintes juridiques
-
Pas uniquement une technologie complexe !
Aladdino - Yvon
CORCIA "D'où vient l'argent ?"
> "stratégies de monétisation des contenus"
- Slides
Le jargon utilisé : "back billing", "brand
awareness", "userbilling", "early mover", "market share
reselling" "comarketing"...
Yvon sera pardonné, son PointPower était en anglais
;) et son exposé intéressant.
D'où vient l'argent ? (bonne question pour
réveiller l'auditoire..) Du client pardi ? Homme fort en
couleurs, présentant l'évolution de son
modèle économique sans pub pour ses fils de news
pour terminaux mobiles.
Phase 1 : le client c'est l'actionnaire. Acquérir marques connues.
Phase 2 : le client c'est l'annonceur. Achat de contenus à revendre. (sponsoring news, ...).... Vendre la Part de Marché acquise. Gratuit pour l'utilisateur...blabla... tra la la
Phase 3 : Le client c'est l'annonceur et l'utilisateur.
Phase 4 : Le client ce sont les éditeurs et consultants. Nouveau virage vers la vente en "B2B" ooops. Licence de technologies. Aladdino vend son savoir-faire en "technology breaktrhough" et "Pay per use".
Pour résumer : Volume, notoriété des marques de contenu et qualité de service sont les 3 facteurs-clés de succès.
Musiwave - Xavier Fillol - Directeur Artistique - Membre du GESTE - http://www.musiwave.com
Musiwave, une offre complète de Services de "Mobile
Music" (savoir faire sur toutes les plateformes : IVR, SMS,
WAP...)
En sorte un agrégateur musical ?
Xavier faisait remarquer à juste titre que l'auteur
était un peu l'oublié du Powerpoint !
Musiwave offre : Augmenter le revenu des opérateurs...
Network et terminaux sont les 2 facteurs clés de succès (la prochaine fois j'écris FCS !).
-
la musique attend l'UMTS... parce que la mémoire du terminal mobile ne permet pas de stocker grand chose... Le mobile sert à payer et le PC à écouter.
-
Les terminaux (PDA, dédiés, ou hybrides) ?
Point sur les terminaux (du téléphone syncrho au plus sophistiqué qui intégrera les DRM ... (ndblog : en 2003 à 800 USD la bête ?)
Espoir sur le streaming ? Pour le moment Musiwave semblerait vivre du marché des Sonneries/Logos même si le chart présentait une vraie fleur d'applications :
-
Musigame console
-
Musimail share
-
Jukebox profile Mag
-
MODS (Music On Demand System) : téléchargement payant
-
Event éditorial
-
Musitone : Ringtones phonographiques et préécoute
-
Musigig
-
Ringtones et Logos...
Xavier, merci de tes éclairages, je te rappellerai pour mieux comprendre.
Marc Gesbert, Orange Innovation : le streaming,
contraintes et modèles - Slides
(ndblog : pas trouvé de lien immédiat
compte tenu de la proximité entre Innovation Explorer et
le bateau de Peyron Orange !)
Encore un bel exposé technique et compréhensible
sur les technologies. Merci l'ami.
Tout sur le streaming... Un contenu accessible dès le
début du transfert. Pas de stockage (le stock de contenu
n'est que provisoire). Plus simple pour la protection des droits
digitaux ;)
PACKET VIDEO - http://pv.com via Mobile
Entertainment Forum - http://mobileentertainment.forum.org
Patrick Parodi : "Mobile Entertainment - A Value Chain
Analysis and Reference Business Scenario" - Document
PDF
Un fournisseur de solutions logicielles opérateurs pour le
multimédia mobile :
-
Technologies , Usages(encodage, décodage, distribution)
- Contraintes et Modèles
Clients : Opérateurs, SSII,
intégrateurs
Références monstrueuses : Docomo
(FOMA), ...
Packet Vidéà se concentre plutôt sur le marché de la vente de services aux entreprises :
-
Solution de sécurité mobile : Alarme -> analyser, visualiser (Fastcom intégrateur)
-
Intranet WAP pour forces de vente en environnement mobile
Pour le particulier ?
-
A signaler Wiral : encodage personnel A regarder !
Selon lui, les applications grand public sont mises en place pour l'effet promo : Coupe du Monde, F1, Ryder Cup (ralentis à la demande...)
Le jouet : Siemens SX45 streaming vidéo Paris en live (ça fonctionnait vraiment) mais le jouet était plus proche d'une mini TV qu'un terminal portable. Image de qualité pour les news. On a aussi pu assister à une séance de webcam sur un carrefour à Londres... Seriez-vous prêt à payer et si oui, à quel prix, ce type d'images. Marché de niche sans doute. Par abonnement ?
Note technique : Le but de foot est plus difficile à streamer. Le streaming est plutôt adapté aux contenus lents ? (présentateur journal) vs contenus rapides (bandes annonces ciné, sports) ? L'opérateur peut jouer sur le rapport : Nombre d'images par seconde/Résolution de l'image. Le but de foot reste quand même difficile à streamer --> il faudra le télécharger ! Mais quelle est la valeur d'un but ? à l'instant T ? une minute après ? une heure après ? Sans parler des contraintes techniques des pics de téléchargement à un instant t.
Principaux freins à la 3G :
-
coût du terminal
-
autonomie
-
coût de transport des paquets...
LinkVest par Mehdi.Benjemia(@linkvest.com) - pas un
investisseur mais une SSII. (Suisse)
Mehdi Benjemia, Linkvest : économie des services
multimédia mobiles - Slides
Une bonne synthèse avec des crobards de capitaux-risqueurs (je me suis laissé prendre !). :
Modèle de coûts/revenus d'un réseau mobile
Une courbe (abscisse : du SMS, WAP, MM, Stream à la RadioTV et ordonnée (coûts) représentant bien les enjeux économiques du marché.
-
SMS : cher à transporter (en coût moyen du Mo transporté), faible en revenu moyen par utilisateur, faible coût réseau/utilisateur (blocage)
-
Wap : on oublie ?
-
MM (multimédia) : là on pourrait croiser la zone de rentabilité (coût moyen du Mo ramené inférieur au revenu moyen / utilisateur)
-
Après ?
Répartition des Usages (note du citydeskeur --> Idée pour CityDesk : intégrer une table à dessin ! Regardez les slides c'est plus clair)
en ordonnée : DUREE : Longue ------->Courte
Abscisse : USAGES : Fixes----> Mobiles
Le but de football est plutôt en bas à droite
(Mobile, Court), à l'extrémité en haut
à gauche (TV, Cinéma : Fixe et Long). Clair
Non.
entre les deux : Radio et Musique (Fixe et mobile, Long), Jeux
(hybride, court et long), Divertissement, Pair à pair (le
chat), Info News...
Ne reste plus qu'à mettre des prix au menu. Rigolo de
constater qu'en Grande Bretage, le jeu se consomme au salon sur
un mobile !
Terminaux
Traitement, stockage et protection des droits. Une gamme se
renouvelle en moyenne tous les 24 mois. Il faudra donc
attendre.
La chaîne de valeur se rapproche de la
télévision payante en plus simple : 1
opérateur pourrait agréger un bouquet ouvert aux
contenus...
Conso -> opérateur -> portail -> site ->
Production de programmes.
...
Pour résumer cette demi-journée passionnante : gros flou ! Attentisme des éditeurs de contenu. Rien n'est joué. Lisez les écrits de la FING. Les opérateurs doivent se montrer moins gourmands avec les producteurs et auteurs. Une meilleure distribution des revenus booste (c'est prouvé par Docomo le trafic voix). Chacun son métier. Quid des rapports auteurs/producteurs/ sociétés de gestion collective de droits. Les schémas de rémunération risquent de se complexifier. Mais il faut ouvrir la voie pour stimuler la production de contenus. Andersen parlera de "Revenue Sharing" attractif.
Lisez aussi l'étude "Special Wireless Issue"
2002 Series Comment d'Andersen - Contact Paris Jean-Luc Gustin
et Henri Tcheng.
http://www.andersen.com/mobilecontent
Merci à tous pour l'instruction. Si je saisis bien l'issue de ces quelques séances, l'enjeu sera d'apprendre à "coopétiter" ? A partager. Belle matinée qui n'est pas tombée dans le discours stérile de la protection des droits numériques. Plutôt un beau panorama de solutions face à une attente de consommations numériques nomades... Encore Bravo, Monsieur Kaplan !
Recommandé aussi : Internet Mobile, des Usages Imprévisibles ?